Pour l'amour du mot, de la pensée juste et de la syntaxe flamboyante, je trace la lettre dans le mou du temps. La voyelle consonne et l'infini prend forme.
Comme toi Ghis, je pense que l'immortalité est dans les coeurs...
G
ghis
23/10/2008 20:14
aux plafonds des cuisines paysannes Franc Comtoise, têtes en bas pendues, elles seront le dernier sourire de l'été, et séchant pendant<br />
tout l'hiver elles seront la beauté, la couleur, le bonheur de la vie paysanne, le seul luxe de la maison<br />
et puis elles finiront leurs vies sur les tombes des chérs disparus<br />
ghis