Pour l'amour du mot, de la pensée juste et de la syntaxe flamboyante, je trace la lettre dans le mou du temps. La voyelle consonne et l'infini prend forme.
Et la poésie satisfait le coeur.<br />
Je t'ai laissé un com' sur le blog de Madame de Keravel, car je m'en voudrais vraiment d'exercer une mauvaise influence sur quiconque, dont il ne faut en tous les cas pas mésuser. Ton commentaire me flatte, mais je ne sais pas si je le mérite. Le Pauvre Lélian (anagramme de Paul Verlaine, mais tu le savais sûrement déjà) n'a pas que des détracteurs, loin de là.